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Les Réseaux d’Échanges Réciproques de Savoirs®,
on en parle…

Des personnalités… La presse…

“Chaque individu a quelque chose à transmettre à l’autre : un métier, une philosophie, une passion… Le savoir cesse d’être une source de différenciation sociale mais circule des uns aux autres…”
Le Monde de l’Èducation, mars 2003

“L’association a permis à quelques uns de s’intégrer, comme cette jeune femme d’origine africaine qui a suivi pendant cinq ans des séances de Français et de biologie avant de passer son diplôme d’infirmière…”
Le Monde, mercredi 23 avril 2003

“Des ballons colorés flottent dans l’air. Des enfants de toutes nationalités jouent et s’interpellent. Les parents discutent par petits groupes… Mais ce n’est pas une fête de quartier comme les autres. Elle est organisée par le Réseau d’Échanges Réciproques de Savoirs® de Belleville. Il suffit de regarder les inscriptions tracées au feutre sur les ballons pour comprendre de quoi il s’agit : Katia, 6 ans, offre du ping-pong et demande des math ; Mamadou échange le bambara, sa langue d’origine, contre des cours de Français…”
Témoignage chrétien, 28 juillet 1990

“Dans une ville nouvelle où l’on dit que personne ne se connaît, où les gens sans racine arrivent et repartent, le Réseau crée un point d’ancrage et d’écoute et devient un formidable outil d’intégration […].”
Le Républicain, 1er juin 2000

“Cet informaticien de 74 ans aime donner son savoir pour se sentir utile, rappelant au passage, avec aigreur, à quel point notre société fait l’impasse sur l’expérience des anciens […].”
Libération

“A Belleville, on apprend des choses. Un peu comme à l’école, sauf que les élèves et les enseignants ont entre 6 et 12 ans. Les petits garçons et les petites filles prennent, chacun, conscience de leurs aptitudes. Partager les connaissances avec d’autres leur donne le désir de les développer et la curiosité d’en construire d’autres […].”
Lien social, 20 juin 2002

“Les Réseaux de formation réciproque sont pour nous une des réponses aux besoins de la population et nous pensons que leur esprit devrait s’appliquer à tous les domaines de l’action municipale […].”
Jacques Guyard, historien, Ancien Député Maire d’Évry (1983-2002/2001)

“Tout peut commencer à changer lorsque le message d’une telle expérience se transmet et se diaspore partout où se pose le problème de l’éducation. Et alors, de nouvelles expériences peuvent s’effectuer, communiquer entre elles, constituer un réseau de Réseaux, des réseaux de Réseaux, et ce qui était déviance marginale devient tendance minoritaire mais active jusqu’à, peut-être, devenir la tendance principale, ce que je souhaite.”
Edgar Morin, philosophe et sociologue, Préface de “L’école éclatée”, 1981

“Les Réseaux d’Échanges Réciproques de Savoirs® sont tout à la fois un mouvement social qui recrée des rapports sociaux et un mouvement de recherche intérieure qui redonne aux individus qui en sont membres une dignité à leurs propres yeux.”
Patrick Viveret, philosophe et sociologue, Préface de “Èchanger les Savoirs”, 1992

“Ainsi, les Réseaux d’Échanges Réciproques de Savoirs® annoncent cet homme égalitaire, qui se moque des centres, pense en réseau et agit en proximité. Ils promeuvent du même coup, cette culture nouvelle, cette démocratie enfin possible, bref, ce monde qui vient.”
Michel Serres, philosophe, professeur d’université, “Des savoirs en abondance”, 1999

“L’enjeu des Réseaux n’est ni uniquement pédagogique, ni exclusivement économique ou social ; il ne s’agit pas seulement de rénover l’école et l’enseignement, d’améliorer les relations entre les personnes ou d’éviter la déperdition des savoirs en favorisant leur mutualisation… il s’agit de l’humain et du pari […] de la promotion de l’humain dans chaque homme.”
Philipe Meirieu, professeur d’université, Préface de “Les savoirs, la réciprocité et le citoyen”, 1998

“Dans les Réseaux d’Échanges Réciproques de Savoirs® : une mise en œuvre, particulièrement accordée à notre temps, du principe de générosité énoncé par Comenius, il y a trois siècles, dans sa Grande didactique : ‘Tous les savoirs pour tous les hommes et avec tous les moyens [compatibles avec la dignité humaine].’”

“Les enseignants comprendront que les ‘Réseaux’ ne sont pas, pour l’École, un gadget supplémentaire ou une méthode parmi d’autres, mais un précieux levier pour lui permettre d’être fidèle aux principes qui l’instituent : l’éducabilité de tous plutôt que l’élimination du ‘maillon faible’, l’exigence de précision, de rigueur et de vérité plutôt que les rapports de force ou de séduction, la solidarité dans l’apprentissage plutôt que l’arrivisme individualiste.”
Philippe Meirieu, professeur d’université, Préface de “Échanger des savoirs à l’école”, 2004

“Les Réseaux d’Échanges Réciproques de Savoirs® posent ‘l’échange réciproque’ comme désormais essentiel à la qualification d’un savoir, pour que celui-ci soit défini véritablement comme humain. […] dans ces Réseaux, la légitime intention d’instruire autrui est possible pour tous.”
Daniel Hameline, professeur d’université, “Réciprocité et Réseaux en formation”, 2000, N° 144, Revue Èducation Permanente

“Est-ce que nous sommes conscients qu’en affirmant constitutionnellement qu’un homme vaut une voix, nous reconnaissons que tout être humain a quelque chose à dire dans le débat public. Ceci reste hélas le plus souvent très théorique. Or, vous avez inventé des outils, et je n’en connais pas beaucoup d’autres qui l’ont fait, qui prouvent, non pas par des mots, mais par des pratiques, que tout être humain a quelque chose à apprendre à un autre, que tout être humain n’est pas ou sujet d’assistance ou sujet de pouvoir, mais d’abord être d’échange. C’est à dire que chaque fois que vous créez des Réseaux, vous inventez la société citoyenne et démocratique.”
Bernard Ginisty, philosophe, journaliste, “Partager les savoirs, construire le lien”, 2001

“Pour moi, les Réseaux d’Échanges Réciproques de Savoirs® sont un laboratoire. Vous préparez les évolutions nécessaires et je veux vous dire mon soutien à votre démarche. Nos conceptions habituelles sont souvent nos prisons habituelles et nous avons besoin de changer nos façons de penser. Il faut apprendre à construire une démocratie du savoir, une démocratie peut-être d’éthique.”
André Giordan, professeur d’université

“À l’heure actuelle, l’une des recherches en pédagogie qui devrait être la recherche fondamentale, c’est d’établir et de faire pratiquer par nos élèves, dès leur entrée à l’école et quel que soit leur âge, des responsabilités d’entraide mutuelle, de coopération […]. ‘J’apprends pour moi et pour les autres, par moi et par les autres’.”

“La reliance et les échanges priment en sorte que la complexité requise peut nous inciter à bien apprécier l’écho des symphonies en Ré majeur – de Réseau, de Réciprocité, de Responsabilité et de Réalisme – invitant à ‘savoir essayer ensemble’ […] et à harmoniser une ‘présence formatrice à soi’ et une ‘présence au monde réel proche’ en vue de ‘vivre ensemble’ en un Respect solidaire.”
André De Peretti, philosophe, pédagogue, Site : http://www.intelligence-complexite.org/nc/fr/ouverture/accueil.html, 2013

“La grande boucle du mouvement des Réseaux d’Échanges Réciproques de Savoirs® fait vivre des microréalisations locales de cette insurrection cognitive citoyenne, à la fois puissante et fragile, sources d’intercommunications transversales tissant une toile, une trame, un web, un communal à la fois terre à terre et aérien. Étrange boucle. Impossible de la boucler. On a affaire à une révolution épistémologique de base, interactive, instauratrice de relations sensibles et sensées. […] Créativité des paradoxes et paradoxe de la créativité.”
Gaston Pineau, professeur d’université, “Réciprocité et réseaux en formation”, 2000

“Ce qu’on y voit avant tout, avec cette culture en réseau d’une réciprocité ‘abductive’, latérale, en toile de groupe, ce sont les deux grandes figures oubliées de l’école originaire :
Les ‘maîtres’ des Réseaux sont inscrits et engagés dans une machine désirante où ils ne cessent de s’apprendre et d’apprendre. Ils font de leur vie d’ ‘enseignant’ une expérience de formation personnelle continue. Qui dit mieux ? C’est ce désir communicant qui fait mouvement chez l’ ‘élève’, et, protégé par la réciprocité et l’appel de savoirs – l’appel d’intelligence –, lui ouvre la soif inextinguible du concept, ni plus ni moins.”
Jacques Pain, professeur d’université, Préface de “Pratiquer la formation réciproque à l’école”, 2005

“Penser en réseau, reconnaître la complexité organique de la connaissance, et la pertinence des acteurs, escompter sur les interactions plus que sur les contenus est finalement d’une grande modernité ; c’est très banal à l’ère d’Internet en 2012 ; ce fut ‘révolutionnaire’ en 1971. La plupart des organisations actuellement s’accommodent des dynamiques puissantes des réseaux ; le milieu scolaire le découvre. C’est une des raisons qui nous ont motivés pour faire advenir le réseau social de l’innovation en ligne ; son nom : RESPIRE, pour ‘Réseau d’Échanges de Savoirs Professionnels, en Innovation, en Recherche et en Expérimentation’. Il doit beaucoup par esprit et par pratique à ce que raconte cet ouvrage.”
François Muller, agrégé et pédagogue, Préface de “Plaisir d’aller à l’école”, 2013. http://respire-education.fr

“La mise en musique des échanges réciproques de savoirs postule le Réseau, ce reflet de la complexité du réel et cette structure propice à la citoyenneté active. Le réseau requiert l’ouverture, mais aussi le mouvement et encore plus l’interaction avec un projet de société visant l’épanouissement de l’être humain – en particulier la brisure de son isolement et la restauration de ses liens sociaux.”
Jacques Robin, médecin, directeur de “transversales Science/Culture”, Préface de “Le cercle des savoirs reconnus”, 1993

“Cet univers bariolé de la connaissance, ce ‘manteau d’arlequin’ présage, espérons-le, les hybridations et les changements de concepts nécessaires pour une société qui est manifestement en train de bouger.”
Jacques Perriault, professeur d’université, Dans “La Leçon de Condorcet”, 1994

“Parce qu’ils contribuent à tisser des liens entre des populations qui ne se rencontrent pas habituellement, ces Réseaux s’affirment ainsi comme de véritables laboratoires d’expérimentation sociale. Les activités et les formations proposées n’ont pas seulement pour objectif de rompre des solitudes, de s’ouvrir aux autres et au monde ; elles sont aussi une invitation à agir, à s’engager collectivement, à porter des projets communs. Et en créant de l’humanité, de la convivialité, elles permettent que chacun trouve sa place et son rôle dans la société.”
Michel Berson, Sénateur, Rencontre internationale 2004 des Réseaux d’Èchanges Réciproques de Savoirs®

“Au moment où chacun s’interroge sur la réalité d’une refondation annoncée de l’école et de l’éducation, ce livre apporte des éclairages et propose des solutions, issues de longues expériences conjuguées et analysées au sein d’un mouvement d’éducation populaire encore méconnu malgré son rayonnement national et international, mais très enraciné sur le terrain, à la base, dans le respect des citoyens, considérés tous (élèves, parents, enseignants, animateurs, professionnels, artistes et artisans, etc.) comme des porteurs de savoirs à partager pour apprendre ensemble. Le Mouvement des Réseaux d’Échanges Réciproques de Savoirs® (RERS, FORESCO) doit sa spécificité au fait qu’il est indépendant des systèmes formels et à l’écart des luttes de pouvoir et d’influence. Il tisse et tricote inlassablement les initiatives locales sans jamais se laisser absorber par des appareils, détourner par l’administration et la gestion, plaçant toujours l’homme, comme personne et comme être social, au centre de son action.Proposer aux élèves, aux adultes qui veulent se former professionnellement à tous ceux qui s’engagent dans les apprentissages, d’apprendre par la réciprocité, c’est leur présenter des dynamiques cohérentes, des situations pédagogiques efficaces et des cheminements motivants Claire Héber-Suffrin, enseignante et formatrice, docteure en sciences de l’éducation, est cofondatrice des réseaux d’échanges réciproques de savoirs. Elle est l’auteur de nombreux ouvrages. Ce nouveau livre est considéré par des spécialistes des questions d’éducation et de société comme un ouvrage majeur qui restera un repère pour l’histoire de l’éducation populaire et une référence pour l’éducation du futur.”
Pierre Frackowiak, inspecteur honoraire de l’EN

“Il est possible même quand on croit ne rien savoir, apprendre aux autres quelque chose de soi. Apprendre aux autres est un geste d’émancipation par rapport à ses croyances limitantes (je ne sais rien) et par rapport à la société qui nous enseigne que des maîtres sont toujours nécessaires partout et pour tout. Redonner un savoir en retour fait grandir à la fois la confiance en soi mais aussi une chaîne de solidarité et de liens, et également le capital social d’une communauté toute entière. Ce capital social s’avère précieux pour des populations délaissées, des personnes fragilisées ou isolées. Ces Réseaux offrent la possibilité à tous de développer des liens, de l’estime de soi, des projets personnels et professionnels. Ils permettent d’accroître son pouvoir d’agir individuellement et collectivement en s’enseignant simultanément le métier d’enseignant et celui d’élève. Ils sont soutenus par une médiation facilitante, car à côté de l’offreur ou du donneur de savoir, un des membres du réseau peut jouer le rôle de médiateur.”
Denis Cristol, responsable de formation au CNFPT.

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